Enfer
Ce souffle de la présence à soi s'érige en gardien silencieux de l'Enfer intérieur
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| Générée par l'IA |
Chaque matin, avec ma binôme neuropsy, nous prenons le temps
d’écouter notre physiologie.
Avant de plonger dans le jour et que le mental s’emballe, nous revenons à notre
corps : souffle, rythme, sécurité ou non.
C’est notre pacte, notre ancrage quotidien.
Nous nommons ce qui est là, décrivons nos sensations, dessinons leurs formes,
puis laissons notre système nerveux autonome se déposer tel qu’il se montre.
Ce rendez-vous matinal est une prière d’intention, un geste d’amour et de
respect envers nous-mêmes. C’est comme une main douce, invisible qui soutient
nos expériences sensorielles.
L’Enfer balbutie quand on commence à se déconnecter de soi.
Ju'
Le mot de demain : INEXPLICABLE
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